(M) Au choix ¤ William (au choix), le camarade dérangeant

Même maison, même année et quasiment même caractère. Ses deux-là étaient vraiment faits pour s'entendre... ou pas. Leur premier contact a démarré sur les chapeaux de roues à coups de poings et d'engueulades. Pourtant depuis, William et Eireen font partie du même groupe d'amis et se chamaillent constamment. A croire qu'ils ne savent pas parler normalement et les rares fois où cela arrive, leurs amis sont tellement étonnés qu'ils recommencent, de nouveau. Comme si le fait de se chercher constamment les empêchaient de trop de se rapprocher, dictés par leurs hormones d'adolescents. Chacun d'eux a besoin d'avoir le dernier mot en deux bons orgueilleux que voici. Ils ont chacun conscience de ce qu'ils peuvent ressentir pour l'autre mais le rejette au loin. Ils s'attirent mais ne veulent pas se brûler. En tout cas, pas le premier. Un jeu de patience et de volonté. C'est peut-être pour cela qu'ils n'ont jamais cherché à être amis... pourtant, l'an dernier, Will est sortie avec X, rien que pour emmerder la brune mais ne le répétez pas, il a réussi à convaincre ses potes que c'était parce que X était charmante (jolie certes mais collante et un peu niaise).
Allons, ressentir quelque chose pour une fille aussi bourrine qu'Eireen ? Vous n'êtes pas sérieux, ce n'est qu'une emmerdeuse ! Si, si, je vous le jure ! Jolie et marrante, ouais c'est vrai... Hein attend, mais j'ai jamais dis çà, moi ?!!

Amie commune de William et Eireen, elle est la miss potin de Poudlard. William l'apprécie pour sa franchise et ses ragots (toujours utiles quand on veut faire chier quelqu'un) mais la trouve un peu surfaite. Pourtant, il sait que la demoiselle cache un bon fond pour avoir eu deux trois conversations sérieuses avec elle. Sauf que voilà : la demoiselle est plus futée qu'elle n'y paraît et a vu clair dans le jeu des deux gryffondors qu'elle pousse l'un vers l'autre... quitte à employer la manière forte. Après tout, c'est sa grande distraction du moment.

Adella est sa cousine maternelle. Douce et gentille, elle était une figure maternelle importante dans la vie de William. D'un an son aîné, elle est celle qui soignait ses bobos et lui comptait de nombreuses histoires de contes ou inventées. Aujourd'hui encore, il reste proche d'elle mais s'inquiète de ses fréquentations.